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Des oies, dans une formation en V, volent contre un ciel plein de nuages blancs et gris. Ces nuages gonflés partent de la ligne d’horizon pour s’élever dans le ciel, lequel est parcouru de sombres bandes orangées, grises et bleues. Le ciel domine les trois quarts supérieurs de la composition au-dessus d’un paysage indistinct, aux couleurs opaques. À mi-distance, le soleil semble toucher un plan d’eau, le colorant d’un orange profond, souligné par une touche de jaune doré.

Charles Comfort

Canadian Geese over Lake Huron, c. 1935
huile sur panneau de bois
30,48 x 40,64 cm
Collection de la Galerie d’art Owens

Don du Dr. J. A. Gairdner

Dans son poème acclamé Wild Geese, Mary Oliver réussit à nous convaincre de tourner le regard vers le ciel. Il ne faut pas désespérer ou sentir le poids de la solitude, propose la poète. Elle décrit un monde extérieur empli de merveilles. Elle dit que ce monde « t’appelle comme les oies sauvages, dur et excitant – / à chaque reprise, annonçantta place / dans la famille des choses. »

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